Les cookies assurent le bon fonctionnement de nos services. En utilisant ces derniers, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus
Votre message nous est bien parvenu !
Numéro de demande :
Conservez-le précieusement !
Nous vous répondrons dans les plus brefs délais
Merci d'avoir contacté notre service client !
Aucun produit
Les prix sont TTC
MON COMPTE | Bienvenue, identifiez-vous
Affinez votre recherche
Chargement...
Chauffe-eau électrique thermodynamique
Principalement constitué d’un ballon d’eau chaude, d’un ventilateur et d’un échangeur aérothermique, ce type d’appareil fonctionne comme une petite pompe à chaleur en absorbant dans l’air des calories qui vont être restituées à l’eau sanitaire. Le système est à la fois, ingénieux, économique et fiable.
Ref. : 100017410
Ref. : 286039
Ref. : 286041
Ref. : 232398
Ref. : 232513
Ref. : 286040
Ref. : 296066
Ref. : 296514
Ref. : 232512
Ref. : 232514
Ref. : 809055
Ref. : 296065
Un chauffe-eau thermodynamique consomme peu d’électricité. L’installation est relativement simple et l’entretien peu coûteux. Les prix sont de plus en plus accessibles. Le chauffe-eau électrique thermodynamique Atlantic Egéo notamment, bénéficie d’un rapport qualité/prix qui est excellent.
Leur fonctionnement est moins complexe qu’on pourrait le croire à première vue.
Un petit ventilateur aspire l’air du local où est installé le chauffe-eau à travers un gros tube, en partie supérieure de l’appareil. C’est le circuit primaire de l’évaporateur. Un chauffe-eau thermodynamique peut également aspirer directement l’air extérieur de la maison. C’est le cas, en particulier, du chauffe-eau électrique De Dietrich Kaliko.
Cet air aspiré n’est donc pas spécialement chaud ou tiède, simplement, il est rarement glacé et le système va capter, exploiter, les calories disponibles. L’air va perdre ses calories et sera rejeté immédiatement à l’extérieur de la maison. Le circuit primaire est dit, ouvert.
Un second circuit, de section beaucoup plus faible, s’enroule autour du tube primaire. C’est ici que les calories sont captées. Le circuit est fermé, il est étanche et contient un fluide particulier. D’abord liquide très froid, ce fluide va se charger de calories en circulant autour du tube primaire de l’évaporateur. Il se réchauffe légèrement, juste assez pour devenir gazeux. C’est la première étape.
Comme dans une pompe à chaleur, le fluide a donc débuté son cycle sous forme liquide (vers -4°C ou -5°C). En théorie, tout air ayant une température supérieure est en mesure d’être exploité, puisqu’il est susceptible d’amener le fluide à l'état gazeux. On considère généralement que, à partir du moment où l’air absorbé a une température supérieure à zéro degré, il commence à céder des calories dans des proportions acceptables.
À noter qu’un air trop chaud ne serait pas exploitable.
Dès l’instant où le fluide passe de l’état liquide à l’état gazeux, on peut le comprimer, grâce à un petit compresseur électrique qui fonctionne presque comme une pompe de bicyclette. Simplement, le compresseur est rotatif. Il est facile de comprimer un gaz, tandis qu’un liquide n’est pas compressible, (du moins, très peu).
Comprimé, le gaz s’échauffe de plus en plus, exactement comme l’air comprimé par la pompe de la bicyclette. C’est la seconde étape.
Bien vite très chaud, le gaz est envoyé se promener plus bas, autour du ballon, afin de réchauffer notre eau sanitaire. Cette troisième étape est celle qui nous intéresse.
En réchauffant l’eau du ballon, le gaz refroidit, c’est logique ; il se détend, refroidit encore plus de ce fait, condense presque tout seul et retrouve sa forme liquide très vite. Le cycle peut recommencer. On dit que le fluide est frigorigène puisque, à la fin, il redevient très froid, il génère des frigories. Pour simplifier, nous dirons que cette quatrième étape est la dernière.
Lors des périodes très froides, les performances de l’échangeur thermique sont plus limitées. Pour éviter un risque de légionnelles, une résistance complète le système.
L’installation d’un chauffe-eau électrique thermodynamique est relativement simple. De manière à bien fonctionner, l’appareil a besoin d’un bon volume d’air. L'idéal est de capter l'air intérieur de la maison dans une pièce de service ; la buanderie représente généralement le meilleur endroit. La pièce choisie doit avoir un volume d'air d'au moins 20 m³, ce qui correspond environ à une surface de 3m x 3m.
Un chauffe-eau thermodynamique demande peu d’entretien ; il faut simplement être attentif à la corrosion, donc à la dureté de l’eau avec une vidange et un détartrage tous les deux ans dans l’idéal.
Le rendement thermique d’un chauffe-eau thermodynamique est assez bon ; on estime que pour 1 kW/h d’électricité absorbé, le chauffe-eau restitue 3 kW/h de chaleur.
En conclusion, le gros avantage des chauffe-eaux thermodynamiques qui entrent en compétition avec les chauffe-eaux solaires est, à l’évidence, la possibilité d’exploitation nocturne et hivernale. Certains appareils sont connectés, c’est à dire pilotables à distance, par exemple la gamme d’appareils Aldes connectés sur VMC T-Flow.
Leur prix est de plus en plus abordable. Du fait que le fonctionnement de ce type de chauffe-eau s’appuie sur une source d’énergie renouvelable, son installation peut donner droit à un crédit d’impôt développement durable ou, éventuellement, à une subvention. La plupart des chauffe-eaux thermodynamiques étant éligibles au crédit d’impôt.
On trouve sur le site de Domomat les plus grands fabricants de chauffe-eaux thermodynamiques, au meilleur prix :